Face à la résurgence de l’épidémie à Tokyo, le gouvernement impose une politique plus stricte, pas de masque, pas de course !
Le Japon a eu peu de fermetures ou de couvre-feux ordonnés par le gouvernement – difficiles à mettre en place du fait de la constitution du pays.
Malgré les quelques sources d’optimisme face à la pandémie et les innovations développées par les japonais. Le gouvernement a donc exhorté la population, les entreprises, les organisateurs d’événements à éviter les rassemblements inutiles et à suivre les conseils des experts de santé du pays pour limiter la propagation du virus.
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Depuis l’apparition du virus au Japon les chauffeurs de taxi de l’archipel ont en permanence lutté face aux passagers sans masque. Le taxi n’étant pas considéré comme un moyen de transport public, beaucoup de voyageurs pensant que tant que le chauffeur porte un masque, ils n’en ont pas besoin eux-mêmes…
Un groupe de dix sociétés de taxis de Tokyo a récemment adressé une pétition au ministère des transports et du tourisme pour obtenir le droit de refuser de prendre des passagers qui ne portent pas de masque. Le ministère a récemment autorisé officiellement les taxis à laisser les passagers sans masque attendre sur le trottoir…
La raison invoquée par le ministère est d’assurer la sécurité non seulement du chauffeur, mais aussi des autres passagers qui utilisent le taxi les uns derrière les autres.
En contrepartie le ministère souhaite que les chauffeurs vérifient si les passagers potentiels sans masque ont un problème de santé qui les empêche de le porter, le prix des taxis ne devraient quand à lui pas changer…
🔎 Source : yahoo.co.jp
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