Cette procédure souvent appelée « auto-sponsoring » ou « auto-parrainage » est très utile pour se passer de sponsor pour aller au Japon !
Si vous ne travaillez pas à plein temps pour un seul employeur mais pour plusieurs employeurs différents ou si vous avez signé un contrat avec plusieurs clients en tant qu’indépendant, il est toujours possible d’obtenir un visa de travail au Japon.
Voilà un super guide pour les indépendants et les gens qui souhaitent télétravailler depuis l’archipel nippon !
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🗾 Comment s’auto-sponsoriser pour aller au Japon avec un visa de travail
Notez que le « visa d’auto-sponsoring » n’existe pas. Dans un premier temps vous devrez donc demander un visa de travail ordinaire en fonction de vos qualifications (comme celui pour « Ingénieur »).
Ensuite, vous devrez prouver que vous avez déjà signé des contrats avec différents employeurs/clients au Japon qui génèrent un revenu suffisant pour subvenir à vos besoins (comptez environ 200 000 yens/mois au minimum).
Attention, cela ne fonctionne pas si vous n’avez que des contrats avec des entreprises étrangères qui n’ont pas de bureau au Japon.
Il est également nécessaire d’obtenir un certain nombre de documents administratifs spécifiques qui vous seront demandé à l’ambassade :
- le certificat d’enregistrement de votre entreprise
- les états financiers de votre entreprise
- les déclarations d’impôt de vos employeurs/clients au Japon (attention de bien lui demander d’apposer son sceau officiel sur le formulaire de demande afin qu’ils soient considérés comme « sponsor principaux du visa »).
Si vous envisagez de lancer une nouvelle activité mais que vous n’avez pas encore de clients fixes, vous pouvez envisager de demander le visa « investisseur/gestionnaire d’entreprise ».
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