Le parti au pouvoir au Japon, le Parti libéral-démocrate (PLD), est secoué par un scandale politico-financier majeur.
Fumio Kishida, Premier ministre du Japon, confronté à une crise politique importante, s’est engagé à réagir rapidement et avec force face au scandale financier impliquant son parti.
Ce scandale qui secoue le Parti libéral démocrate (PLD) et la droite nippone au pouvoir a abouti à des accusations graves contre plusieurs de ses membres, entraînant la dissolution de 3 de ses principales factions.
Les accusations portent notamment sur des pratiques comptables frauduleuses et l’omission de déclarer d’importantes sommes d’argent, présumés à 500 millions de yens (environ 3,2 millions d’euros) lors d’événements de collecte de fonds. Les trésoriers en chef des factions Abe et Nikai, ainsi que d’autres membres éminents, sont impliqués.
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En pleine crise de confiance publique envers la politique et les institutions, cette situation a provoqué des excuses publiques de la part des dirigeants du PLD et a renforcé les critiques des partis d’opposition.
Ces derniers appellent à une réforme de la législation sur le financement politique, notamment en interdisant les dons d’entreprises et en renforçant la transparence.
Points Clés du Scandale Politico-Financier Japonais au Sein du PLD
- Démissions en chaîne : Le ministre de l’Économie, le ministre des Affaires intérieures, le ministre de l’Agriculture et le porte-parole du gouvernement ont tous les 4 remis leur démission.
- Impact sur Fumio Kishida : Le Premier ministre japonais est fragilisé par ce scandale, affectant sa position au sein du parti et son maintien à la tête du gouvernement. La popularité du Premier ministre Kishida a chuté, et la crise interne au PLD pourrait affecter son avenir politique, notamment en vue des élections de la présidence du parti.
- Accusations : Des membres de la faction d’Abe, la plus grande du PLD, sont accusés de ne pas avoir déclaré plusieurs millions d’euros collectés lors de levées de fonds.
- Dissolution de factions influentes : 3 factions parlementaires du PLD, y compris celle du Premier ministre Fumio Kishida, ont annoncé leur dissolution.
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