🛒 Qu’acheter avant et pour un voyage au Japon ?

Avec ces achats et astuces en poche, vous êtes paré·e pour profiter pleinement de votre voyage au Japon, même en plein été torride.

Partir par exemple 3 semaines au Japon en plein mois d’août, c’est l’assurance de vivre une aventure mémorable… et de transpirer comme jamais.

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Voici la checklist ultime des indispensables à acheter ou préparer avant de partir au pays du Soleil-Levant !

Survivre à la chaleur et à l’humidité nippone

Un été au Japon, c’est sauna garanti. En août, les températures frôlent souvent les 35°C à l’ombre avec une humidité tropicale – sans parler des pics possibles à 40°C lors des canicules. Autant dire que vous allez transpirer, point barre. Inutile de rêver y échapper : même les Japonais, pourtant habitués, s’équipent en conséquence avec éventails, petites serviettes-éponge, mini-ventilateurs portatifs, tours de cou rafraîchissants ou ombrelles. Prenez exemple sur eux ! Quelques achats malins vous aideront à affronter cette chaleur écrasante :

• T-shirts légers et vêtements respirants : privilégiez les vêtements amples en matières techniques qui sèchent vite. La marque japonaise Uniqlo propose par exemple sa gamme AIRism très abordable, des sous-vêtements et t-shirts ultra-respirants parfaits pour l’été. On en trouve aussi en France, mais c’est moins cher et très courant sur place. Vous pouvez donc soit en acheter avant de partir, soit prévoir d’en acquérir en arrivant.
• Déodorant antitranspirant efficace : si vous avez un déo fétiche « 48h protection maximale », emportez-le, car au Japon les déodorants sont réputés plus doux (et la moiteur ambiante en août va mettre votre produit à rude épreuve). Certaines personnes mentionnent des patchs anti-transpiration à coller sous les aisselles – pourquoi pas, ça existe effectivement (imaginez une sorte de mini-serviette hygiénique adhésive pour aisselle). Mais soyons honnête : vous allez transpirer de partout malgré tout. Avec 90% d’humidité, la sueur ne s’évapore pas et finit par tremper tout votre t-shirt, patch ou pas patch. Donc un bon antitranspirant aidera surtout à éviter les odeurs, et tant pis pour les auréoles – de toute façon, tout le monde dégouline en été là-bas, vous ne serez pas seul(e) !
• Ventilateur portable USB : ce petit gadget est la star de l’été japonais. Beaucoup de locaux et de touristes en ont un dans le sac pour s’envoyer de l’air frais en déplacement. Vous pouvez en commander un avant le voyage ou l’acheter dès votre arrivée (on en trouve partout, des konbini aux magasins d’électronique, pour quelques euros). C’est littéralement un souffle de vie dans le métro saturé en fin de journée. En bonus, certains modèles ont même une fonction brumisateur ou des recharges de glace. High-tech et fraîcheur, combo gagnant.
• Petite serviette de poche ou mouchoir-éponge : un indispensable au Japon (les locaux en ont toujours un sur eux). Vous pourrez vous éponger le front ou la nuque en deux secondes dès que la moiteur vous accable. Vous pouvez en emporter une de chez vous ou en acheter une mignonne sur place en souvenir. Astuce des sages : la serviette humide sortie du frigo appliquée sur la nuque fait des miracles pour faire baisser la température corporelle.
• Crème solaire indice 50+ résistante à l’eau : le soleil tabasse en été japonais, plus fort qu’on ne le croit. Coup de soleil + coup de chaud = combo dangereux. Prenez une bonne crème solaire haute protection, waterproof (parce que vous allez transpirer, on l’a dit). À Tokyo, on peut avoir un soleil de plomb dès 5h du matin et jusqu’à 19h, donc protégez votre peau, surtout si vous comptez faire de longues balades en extérieur ou assister à un matsuri en plein jour. Personne n’a envie de cramer le premier jour et de peler comme un serpent au bout d’une semaine.
• Casquette ou chapeau anti-UV : on n’y pense pas toujours, mais le soleil japonais tape sur le crâne. Une casquette légère (de préférence traitée anti-UV) vous évitera l’insolation en plein Kyoto à midi. Les Japonais utilisent aussi volontiers des ombrelles pour se protéger du soleil – ça peut sembler désuet, mais honnêtement une petite ombrelle pliable UV (ou même un parapluie clair) vous fera de l’ombre portable. Si vous n’osez pas en apporter une de France, sachez qu’au Japon hommes et femmes utilisent sans complexe des ombrelles en été… et vous nous remercierez quand vous sentirez l’ombre sur votre visage en pleine fournaise.
• K-way ultraléger ou poncho de pluie : en été il fait beau et très chaud… sauf quand il pleut d’un coup des cordes à cause d’une ondée tropicale ou d’un typhon en approche. Août peut être la saison des typhons, et même hors typhon, une averse soudaine n’est pas exclue. Prévoyez un petit coupe-vent imperméable pliable dans le sac. Il vous servira aussi quand vous passerez de 38°C en rue à 18°C dans un train ou un centre commercial surclimatisé – oui, la clim japonaise peut être glaciale à l’intérieur, au point de provoquer un choc thermique ! Un gilet léger ou écharpe peut également être utile pour ne pas grelotter sous l’air conditionné après avoir sué dehors.

Note santé : l’hydratation est primordiale. On ne le dira jamais assez : buvez de l’eau très régulièrement pour ne pas tomber comme une mouche. Vous trouverez des distributeurs de boissons à tous les coins de rue au Japon, même dans les villages paumés – difficile de faire 100 mètres sans croiser un vending machine bleu ou rouge proposant eau, thé, soda… Inutile donc de trimballer 3 litres sur vous ; une gourde suffira, que vous pourrez remplir à l’hôtel ou aux fontaines, et compléter avec des boissons fraîches achetées au fur et à mesure. Pensez aussi aux boissons ionisées type Pocari Sweat qu’on vend là-bas, c’est efficace contre la déshydratation. Et méfiez-vous des moustiques le soir, surtout dans les parcs : un petit spray anti-moustique peut être salvateur si vous avez la peau à moustiques (ces bestioles adorent l’étranger juteux en été).

Enfin, côté pharmacie : prévoyez une petite trousse avec quelques médicaments de base difficiles à trouver au Japon. Par exemple, si vous avez un anti-douleur favori (paracétamol, ibuprofène), un antidiarrhéique (on ne sait jamais, changement de bouffe), des pansements ampoules pour les pieds (après des kilomètres de marche vos pieds crieront merci – les pansements type Compeed sont hors de prix là-bas, mieux vaut en avoir quelques-uns prêts), et tout traitement personnel. Les pharmacies japonaises sont bien fournies, mais les marques sont différentes et tout est écrit en japonais, donc mieux vaut assurer le coup avec vos indispensables. Surtout ne partez pas sans de bonnes chaussures déjà faites à vos pieds – quitte à en acheter une paire neuve avant et les porter un peu pour les faire. Vous allez marcher comme jamais (le record perso de nombreux voyageurs dépasse 20 000 pas/jour), donc chouchoutez vos petons : chaussures respirantes, chaussettes légères et pansements anti-ampoules, c’est le tiercé gagnant.

Rester connecté et rechargé : eSIM, batteries et adaptateurs

Le Japon, c’est dépaysant… et naviguer sans internet ni GPS peut vite virer à la galère (trouver son Airbnb dans une ruelle de Tokyo sans plan, c’est un coup à pleurer derrière un distributeur de ramen). Pour éviter ça, pensez connectivité dès avant le départ :

• Carte eSIM ou Pocket Wi-Fi : Fini le temps où l’on cherchait des cabines téléphoniques en arrivant à Narita. Aujourd’hui, le plus simple est de prendre une eSIM data avant de partir. Des fournisseurs comme Airalo, Ubigi, Holafly etc. proposent des eSIM prépayées pour le Japon : vous l’achetez en ligne, vous l’installez sur votre smartphone compatible, et hop, une fois sur place vous avez internet illimité (ou X Go) sans changer de carte physique. C’est généralement moins cher et plus flexible qu’un pocket Wi-Fi (ces routeurs portables qu’on louait auparavant). De plus, le roaming international coûte un bras et les vieux réseaux GSM européens ne fonctionnent pas au Japon, donc ne comptez pas utiliser votre forfait français directement. La connexion mobile vous sera ultra utile pour Google Maps, traduire un menu au vol, réserver un resto sur place ou poster vos stories sushi en temps réel. Astuce : téléchargez à l’avance les plans hors-ligne (Google Maps, applis de métro) et l’appli Google Translate avec le pack de langue japonais, ça dépanne quand le réseau fait défaut. Si vous préférez la solution Pocket Wi-Fi (location d’un boîtier à récupérer à l’aéroport), assurez-vous de réserver avant départ et n’oubliez pas de le récupérer (et de le rendre en repartant) ; c’est un appareil de plus à trimballer et recharger, mais ça peut être pratique si vous voyagez en groupe (une seule location pour plusieurs appareils).
• Adaptateur de prise électrique : indispensable pour brancher vos chargeurs une fois au Japon. Là-bas, les prises sont de type A (deux fiches plates parallèles, comme aux USA) et parfois B (deux fiches plates + terre ronde). En gros, rien à voir avec nos prises européennes. Achetez un adaptateur France vers Japon/USA avant de partir, ça ne coûte pas cher et vous évitera de chercher à l’aéroport. Vérifiez si vous aurez besoin d’un convertisseur de tension : la tension au Japon est de 100 V (contre 230 V en France). Heureusement, la plupart des chargeurs de téléphone, d’appareil photo, ordinateurs, rasoirs etc. sont maintenant multi-voltage (100-240V), donc ils s’adaptent tout seuls – il suffit d’avoir l’adaptateur de prise. Par contre, évitez d’apporter des appareils gourmands non compatibles 100V (sèche-cheveux de compèt’, fer à lisser non dual-voltage) sous peine de les voir mal fonctionner ou surchauffer. Si vraiment vous devez en brancher un, prenez un convertisseur 230V->100V, mais franchement, on peut se passer de son sèche-cheveux pendant 3 semaines (les hôtels en fournissent généralement).
• Batterie externe (power bank) : entre les photos, Google Maps toute la journée et les recherches d’itinéraire, votre téléphone va être votre meilleur ami en voyage… et il va se vider à vue d’œil. Emportez une batterie portable de bonne capacité (10 000 mAh ou plus) pour recharger en cours de journée. C’est quasiment aussi indispensable que le passeport pour un geek voyageur. Imaginez : 17h, vous êtes en sueur à Nara après avoir mitraillé 200 photos de daims trop mignons, votre téléphone clignote à 5% alors que vous n’avez pas l’adresse du resto du soir… pas glop. Avec une power bank, no stress. Pensez aussi au câble adéquat (USB-C, Lightning…) en double au cas où, et pourquoi pas un petit adaptateur multiprise USB si vous avez plusieurs appareils à recharger la nuit dans la chambre (par exemple, un chargeur USB multiple pour brancher le tel, la batterie, la montre connectée en une prise).
• Écouteurs avec réduction de bruit (optionnel mais confort) : 12 heures d’avion + le vacarme des cigales ou du train, ça peut soulager de s’isoler avec de la musique ou un podcast. Ce n’est pas un achat spécifique au Japon, mais pensez à prendre vos écouteurs ou casque audio. D’autant qu’au Japon, c’est mal vu de passer du son fort en public : mieux vaut être équipé pour rester discret avec votre J-pop.

Anticiper transports et visites : Japan Rail Pass, tickets et réservations

Certaines dépenses se planifient avant le voyage pour vous faire gagner du temps (et de l’argent) une fois sur place. Voici ce qu’il faut considérer :

• Faut-il acheter un Japan Rail Pass ? Ah, le fameux JR Pass illimité… Autrefois le Graal du touriste au Japon, il permet de prendre quasiment tous les trains JR en illimité pendant 7, 14 ou 21 jours. Mais attention : depuis fin 2023, son prix a explosé de près de +70% ! Autant dire qu’il n’est plus aussi rentable qu’avant. Aujourd’hui, le JR Pass 7 jours standard coûte environ 50 000¥ (plus de 320€), soit quasiment le prix d’un aller-retour Tokyo-Kyoto. Il n’est donc avantageux que si vous comptez enchaîner les longues distances sur une courte période. Pour 3 semaines en août, réfléchissez bien à votre itinéraire : si vous prévoyez de beaucoup bouger (Tokyo -> Kyoto -> Osaka -> Hiroshima -> etc.), un Pass 14 jours peut valoir le coup pour la partie la plus dense du voyage, et payer à part les petits trajets. En revanche, si vous restez principalement dans une région (par ex. Kantō/Tokyo ou Kansai/Kyoto-Osaka), il peut être plus judicieux de prendre des pass régionaux ou simplement une carte rechargeable (Suica/Pasmo) et payer les trajets à l’unité. N’oubliez pas que le JR Pass ne couvre pas le métro des grandes villes ni les bus locaux, seulement les lignes JR (par exemple à Tokyo, il couvre la grande ligne JR Yamanote qui fait le tour de la ville, mais pas le métro Tokyo Métro). Bref, le JR Pass n’est plus automatique comme avant : calculez vos trajets et comparez. Et si vous décidez d’en acheter un, faites-le avant de partir auprès d’une agence agréée (en France, par exemple sur Internet via JRailPass, Keikaku ou autres) car c’est moins cher qu’au Japon même. Vous recevrez un voucher à échanger au Japon contre le pass.
• Carte de transport IC (Suica/Pasmo) : Ce n’est pas à acheter avant (sauf si vous voulez commander une Suica virtuelle sur votre iPhone via Apple Pay, ce qui est possible), mais à savoir. Dès votre arrivée, procurez-vous une carte Suica, Pasmo ou Icoca aux bornes ou guichets (caution ~500¥) : c’est une carte sans contact que vous rechargez et qui vous permet de payer tous les transports locaux (métro, bus, train non-JR), et même des achats dans les konbini. Ultra pratique, elle évite de jongler avec les tickets. En 2025, il y a même des versions digitales (sur smartphone), mais la carte physique reste un souvenir sympa.
• Tickets pour sites touristiques prisés : Si vous rêvez de visiter le musée Ghibli à Mitaka, c’est LE truc à réserver des mois à l’avance. Les places partent comme des petits pains le 10 de chaque mois pour le mois suivant, en quelques minutes. Autant dire qu’il faut anticiper bien avant août pour un ticket en août. Si vous n’avez pas pu en obtenir sur le site officiel, il existe des revendeurs (Voyagin, Klook…) mais à prix gonflés. Autre lieu qui nécessite une résa anticipée : le teamLab Planets ou Ghibli Park (ouverture récente), selon disponibilité. Renseignez-vous sur les attractions nécessitant des billets horodatés (château de Himeji gratuit mais nécessite de venir tôt pour un ticket horaire, certaines expos temporaires, etc.). En été, le Japon attire du monde, donc mieux vaut réserver en ligne quand c’est possible (par exemple, Universal Studios Japan à Osaka – si vous y allez un week-end d’août, prenez vos billets coupe-file Express Pass bien en avance sinon vous ferez la queue en plein cagnard pendant des heures). Même chose pour le Studio Harry Potter (Warner Bros Tokyo) ouvert récemment, ou le SkyTree à Tokyo (on peut acheter des billets à l’avance pour éviter la file). Bref, faites votre to-do list de rêve et vérifiez si une réservation anticipée est nécessaire pour éviter les déceptions sur place.
• Permis de conduire international (si vous envisagez de conduire ou de faire du karting MariCar dans Tokyo par exemple) : Ce n’est pas un achat, mais une démarche. En France il est gratuit mais il faut s’y prendre quelques semaines avant. Au Japon, un permis étranger n’est pas valable sans permis international (sauf exceptions comme permis français traduit pour conduire temporairement, mais c’est un détail technique). Donc pensez-y en amont si besoin.
• Assurance voyage : Ce n’est pas très fun, mais les frais médicaux au Japon coûtent cher et un pépin est vite arrivé (insolation, entorse au Mont Fuji, bref…). Prenez une assurance voyage couvrant les frais de santé et le rapatriement, c’est plus sage. Certaines cartes bancaires le font, sinon souscrivez-en une séparément. Vous partez l’esprit tranquille, prêt à affronter Godzilla, euh la chaleur.

Petits plus culture et confort

• Un guide de voyage ou livre sur le Japon : 12h d’avion c’est long, profitez-en pour lire Chroniques japonaises de Nicolas Bouvier ou un bon guide rempli d’anecdotes. Sur place, avoir un guide peut aider pour dénicher un resto ou comprendre la culture des lieux que vous visitez.
• Des cadeaux “made in France” : Si vous avez des amis japonais à voir, ou simplement pour remercier un contact sur place (guide, hôte Airbnb, etc.), emportez quelques souvenirs français. Par exemple, des petites boîtes de macarons, du chocolat, des porte-clés Tour Eiffel, du bon vin (attention aux restrictions douanières sur l’alcool), ou même du savon artisanal de Marseille. Les Japonais apprécient ce genre de délicatesse et ça fait toujours plaisir d’échanger des cadeaux. On ne sait jamais, vous pourriez nouer des amitiés et être invité quelque part – arriver avec un petit cadeau français vous donnera +1000 points de charisme international.
• Tattoos et onsen : Si vous avez des tatouages et que vous espérez tester les onsen (bains traditionnels), pensez à acheter des patchs couvrants pour tatouages avant le voyage. Au Japon, beaucoup d’onsen refusent l’entrée aux personnes tatouées (même petites tatouages, par principe lié à la culture yakuza). Il existe des autocollants chair waterproof pour cacher un tatouage le temps du bain. Ce n’est pas infaillible, mais dans certains bains ça passe. Sinon, renseignez-vous sur les onsen “tattoo-friendly” ou privatisez un petit bain rien que pour vous. Quoi qu’il en soit, mieux vaut être préparé si vous avez un dragon dans le dos et que vous rêvez de tremper dans une source chaude en montagne.
• Place dans la valise (voire valise vide) : Conseil d’ami qui a fait l’erreur une fois : voyagez léger à l’aller ! Prenez le strict minimum en vêtements (de toute façon vous laverez sur place ou achèterez des t-shirts sympas en souvenir). Pourquoi ? Parce qu’au retour, votre valise sera fatalement pleine à craquer de goodies, figurines, mangas, snacks kitkat au matcha, vêtements Uniqlo, gadgets électroniques et j’en passe. Le yen étant relativement faible et les tentations nombreuses, on finit tous par acheter plus que prévu. Donc certains voyageurs chevronnés partent carrément avec une grande valise à moitié vide, ou même une valise cabine glissée dans une grosse valise, qu’ils remplissent de trouvailles pour le retour. Ça vous évitera de devoir acheter une valise supplémentaire sur place (même si les valises japonaises sont de bonne qualité et pas trop chères, autant économiser si votre billet d’avion inclut déjà un bagage). En un mot : laissez de la marge pour les souvenirs !

Enfin, n’emportez pas ce qui se trouve facilement au Japon : par exemple, inutile de prévoir trois tonnes de produits de toilette, vous avez des konbini et Daiso partout pour racheter du shampoing ou du gel douche pas cher. Pas besoin non plus de vous charger en snacks ou nouilles pour « au cas où » : la nourriture là-bas est excellente et accessible partout, à toute heure. Gardez de la place pour l’utile et le vraiment personnel.

Prêt·e pour le grand départ !

En résumé, avant de vous envoler vers Tokyo, assurez-vous d’avoir : votre eSIM active, un adaptateur de prise, de quoi survivre à la chaleur (vêtements légers, ventilo portable, crème solaire, etc.), vos papiers en règle (passeport, JR Pass ou autres réservations imprimées sur papier au cas où, permis international…), une bonne dose de préparation et d’humour.

Parce que oui, vous allez sans doute souffrir un peu de la chaleur humide – vous prendrez peut-être 4 douches par jour pour vous sentir frais – mais cela fait partie de l’expérience. Comme on dit là-bas, がんばって (ganbatte – bon courage) !

Bon voyage et ramenez-nous plein d’histoires (et de snacks) !

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