Le monde des termes sexuels japonais, câest un peu comme une encyclopĂ©die du bizarre, du mignon, du choquant et du crĂ©atif.

Veuillez noter que ces Ćuvres et contenus sont conçues pour un public adulte et ne conviennent pas Ă tous les types de spectateurs.
Si tu as dĂ©jĂ explorĂ© le monde des mangas, des animes ou mĂȘme des recoins plus⊠spicy de la pop culture japonaise, tu as forcĂ©ment croisĂ© des termes qui tâont fait hausser un sourcil (ou rougir, avoue). Le Japon, avec son mĂ©lange unique de traditions et de crĂ©ativitĂ© dĂ©bridĂ©e, a dĂ©veloppĂ© un vocabulaire sexuel ultra-riche, souvent liĂ© au monde du hentai (oui, on parle de ce genre de mangas). Mais attention, ici, on ne juge pas : on explore, on dĂ©crypte et on sâamuse un peu en chemin. Voici une liste non exhaustive des termes les plus emblĂ©matiques, expliquĂ©s avec un max de fun et un minimum de tabous. Accroche-toi, ça va secouer !
A comme Ahegao : le visage qui dit tout (et plus encore)
Si tu as dĂ©jĂ vu un personnage de hentai avec les yeux rĂ©vulsĂ©s, la langue pendante et les joues Ă©carlates, tu sais de quoi on parle. Ahegao (ăąăéĄ), littĂ©ralement âvisage dâextaseâ, est lâexpression faciale exagĂ©rĂ©e qui crie âplaisir ultimeâ. PopularisĂ© par le hentai, ce trope est devenu un vĂ©ritable phĂ©nomĂšne, au point dâenvahir les memes, les hoodies et mĂȘme les filtres Snapchat. Attention, dans la vraie vie, câest un peu plus rare (et peut-ĂȘtre moins glamour).
B comme Bukkake : un classique controversé
Bukkake (ă¶ăŁăă) est un terme qui a voyagĂ© bien au-delĂ des frontiĂšres du Japon, mais son origine est⊠disons, historique. Ă lâĂ©poque mĂ©diĂ©vale, il Ă©tait associĂ© Ă une forme dâhumiliation publique (pas cool, on sait). Aujourdâhui, dans le hentai et le porno japonais (JAV, pour Japanese Adult Video), il dĂ©signe une pratique oĂč plusieurs hommes Ă©jaculent sur une personne, souvent une femme. Oui, câest hardcore, et non, ce nâest pas pour tout le monde. Mais son omniprĂ©sence dans le hentai en fait un incontournable Ă connaĂźtre.
C comme Chikan : le cÎté sombre des trains bondés
Si tu as dĂ©jĂ vu un anime oĂč un mec louche tripote une passagĂšre dans un train, tu as rencontrĂ© le concept de Chikan (çŽæŒą), ou âpervers du trainâ. InspirĂ© dâun vrai problĂšme social au Japon (le harcĂšlement dans les transports en commun), ce trope est hyper courant dans le hentai, souvent sous une forme fantasmĂ©e et exagĂ©rĂ©e. Dans la rĂ©alitĂ©, câest Ă©videmment illĂ©gal et condamnĂ©, mais dans le monde fictif, ça reste un genre Ă part entiĂšre.
C aussi comme Cosplay : quand le déguisement devient coquin
Cosplay (ăłăčăăŹ), Ă la base, câest lâart de se dĂ©guiser en personnages dâanimes, de mangas ou de jeux vidĂ©o, souvent pour des conventions ou des concours. Mais dans le monde du hentai, on ajoute une bonne dose de piment : les personnages enfilent leurs costumes⊠pour mieux les enlever (ou pas). Imagine une Sailor Moon ou une Chun-Li dans des situations bien plus hot que dans leurs Ćuvres originales. Fun fact : dans le hentai, le cosplay est souvent une excuse pour mĂ©langer fan service et fĂ©tichisme des uniformes. IRL, le cosplay reste majoritairement innocent, mais dans le monde du hentai, câest une tout autre histoire.
D comme Doujin : lâart du fait maison (et souvent coquin)
Doujin (ćäșș), ou doujinshi, câest un peu le DIY du manga. Ce sont des BD crĂ©Ă©es par des amateurs, souvent en marge des grandes maisons dâĂ©dition, et vendues lors dâĂ©vĂ©nements comme le Comiket. Attention, un doujin nâest pas forcĂ©ment hentai : il peut ĂȘtre une parodie innocente de Naruto ou une histoire originale. Mais soyons honnĂȘtes, dans le monde du hentai, les doujins sont souvent des terrains de jeu pour les fantasmes les plus fous, avec des versions ultra-hot de tes persos prĂ©fĂ©rĂ©s. Câest artisanal, câest libre, et câest souvent lĂ que naissent les idĂ©es les plus dĂ©lirantes.
E comme Ecchi : le petit frĂšre soft du hentai
Ecchi (ăšăă) est un terme qui prĂȘte Ă confusion. En Occident, on lâutilise pour dĂ©signer les mangas ou animes Ă connotation sexuelle mais sans aller jusquâau porno explicite â pense Ă des plans culottes (panchira), des poitrines qui rebondissent (boin), ou des situations embarrassantes dans des bains chauds (onsen). Au Japon, par contre, ecchi peut carrĂ©ment signifier âsexeâ ou âperversâ dans le langage courant (ecchi suru = faire lâamour). Bref, câest le genre qui titille sans jamais aller jusquâau bout⊠ou presque.
F comme Futanari : quand les genres se mélangent
Futanari (ă”ăăȘă), ou âdickgirlâ dans le jargon occidental, dĂ©signe des personnages hermaphrodites, souvent reprĂ©sentĂ©s avec une anatomie fĂ©minine et un pĂ©nis (parfois dĂ©mesurĂ©, merci lâimagination). Ce genre, qui flirte avec le fantastique, est une niche prisĂ©e dans le hentai et appartient souvent au sous-genre guro (le grotesque). Si tu te demandes pourquoi ça existe, dis-toi que le hentai adore repousser les limites de lâimagination â et des tabous.
F aussi comme Fera : la fellation, version japonaise
Fera ou Ferachio (ăă§ă©ăăă§ă©ăăȘ) est le terme japonais pour la fellation. Dans le hentai, câest un trope hyper courant, souvent reprĂ©sentĂ© de maniĂšre exagĂ©rĂ©e (merci les bruitages et les angles de camĂ©ra improbables). Câest un classique qui ne manque jamais dâapparaĂźtre, que ce soit dans un doujin, un anime hentai ou un jeu vidĂ©o. Si tu cherches un genre soft, ce nâest pas ici que tu le trouveras â mais hey, câest le hentai, pas Twilight.
G comme Guro : le cÎté sombre et glauque
Attention, on entre dans le deep du hentai. Guro (ă°ă), abrĂ©viation de âgrotesqueâ, dĂ©signe les Ćuvres qui mĂ©langent sexe et horreur, souvent avec des scĂšnes de mutilation, de violence extrĂȘme ou de trucs franchement bizarres. Pense Ă des tentacules qui font plus que caresser, ou Ă des scĂ©narios qui feraient rougir un fan de films dâhorreur. Câest ultra-niche, souvent dĂ©rangeant, et clairement pas pour tout le monde. Si tu croises un doujin estampillĂ© guro, tu sais que tu tâaventures en terrain minĂ©.
H comme Hentai : mais au fait, ça veut dire quoi ?
On commence par la base. Hentai (ć€æ ) signifie littĂ©ralement âperversionâ ou âanormalitĂ©â en japonais, mais en Occident, on lâutilise pour dĂ©signer les mangas et animes porno. Fun fact : au Japon, on prĂ©fĂšre parler dâero manga ou dâero anime pour Ă©viter la connotation pĂ©jorative de âperversionâ. Mais grĂące Ă des classiques comme Urotsukidoji (avec ses monstres tentaculaires), le terme hentai est devenu synonyme de sexe graphique et souvent dĂ©lirant. Bref, câest tout un univers, et pas juste des dessins cochons.
I comme Idol : la muse intouchable⊠ou presque
Idol ou AĂŻdoru (ăąă€ăă«) dĂ©signe ces jeunes chanteuses pop ultra-populaires au Japon, souvent des adolescentes adulĂ©es par des hordes de fans. Dans le hentai, elles deviennent des figures de fantasmes, souvent reprĂ©sentĂ©es dans des situations qui contrastent violemment avec leur image pure et innocente. Câest un trope qui joue sur le contraste entre lâidĂ©al de perfection et la transgression. Attention, dans la rĂ©alitĂ©, les idols sont des personnes, pas des objets de fiction, et leur vie est souvent hyper-contrĂŽlĂ©e (et pas toujours rose).
J comme JAV : le porno japonais, version live
JAV (Japanese Adult Video) est lâĂ©quivalent live du hentai : des films pornos japonais, souvent trĂšs codifiĂ©s, avec des genres qui vont du soft au hardcore. Dans le hentai, on retrouve souvent des adaptations de ces codes, comme le bukkake, le chikan ou le pink salon (des bars Ă fellations). Fun fact : au Japon, les organes gĂ©nitaux sont souvent floutĂ©s dans les JAV Ă cause de la loi, mais dans le hentai, on nâa pas ce problĂšme â merci le dessin !
K comme Kemono : quand les animaux deviennent sexy
Kemono (çŁ ou ă±ăąă) signifie âbĂȘteâ ou âanimalâ en japonais, et dans le hentai, ça dĂ©signe les Ćuvres mettant en scĂšne des crĂ©atures mi-humaines, mi-animales (pense Ă des neko-girls avec des oreilles de chat, ou des hybrides plus sauvages). Parfois, ça va jusquâĂ des relations zoophiles (oui, on est dans le bizarre), mais souvent, câest plus soft, avec des personnages âkawaiiâ qui jouent sur le fĂ©tichisme des oreilles (kemonomimi) ou des queues. Si tu vois un doujin avec des persos Ă fourrure, tu es en territoire kemono.
K aussi comme Kaiawase : lâamour entre femmes, version douce
Kaiawase (èČćăă) dĂ©signe les rapports sexuels entre femmes, souvent sous forme de masturbation mutuelle. Câest un terme poĂ©tique (littĂ©ralement âcoquillages qui sâaccordentâ) qui contraste avec la brutalitĂ© de certains autres genres. Dans le hentai, câest souvent reprĂ©sentĂ© dans le cadre du yuri (relations lesbiennes), mais ici, lâaccent est mis sur la sensualitĂ© et lâintimitĂ©. Si tu cherches un genre plus doux, câest une bonne porte dâentrĂ©e.
L comme Lolicon : attention, terrain glissant
Lolicon (ăăȘăłăł), ou âLolita Complexâ, est un genre controversĂ© qui met en scĂšne des personnages fĂ©minins mineurs dans des situations sexuelles. Attention, on parle ici de fiction (dessins, pas rĂ©alitĂ©), mais le sujet est hyper sensible et souvent illĂ©gal selon les pays. Au Japon, il existe un dĂ©bat permanent sur la libertĂ© artistique versus la moralitĂ©. Si tu explores ce genre, garde en tĂȘte le contexte culturel et lĂ©gal, et surtout, ne mĂ©lange pas fiction et rĂ©alitĂ©.
M comme Moe : lâexcitation inexplicable
Moe (èă) est un concept japonais difficile Ă dĂ©finir, mais en gros, câest quand un personnage ou une situation te fait craquer de maniĂšre irrationnelle. Dans le hentai, moe est souvent utilisĂ© pour dĂ©crire des personnages ou des fĂ©tichismes qui te font dire âje ne sais pas pourquoi, mais ça mâexciteâ. Câest un peu le cousin de kawaii, mais en plus personnel et subjectif. Si tu trouves une neko-girl avec des lunettes adorable au point de perdre tes moyens, tu es en plein moe.
M aussi comme Monster Hentai : quand les monstres sâen mĂȘlent
Monster Hentai est un genre oĂč des humaines (ou humains) se retrouvent dans des situations intimes avec des crĂ©atures non-humaines, souvent non-consensuelles. Câest le grand frĂšre du Shokushu (Tentacle Hentai), mais ici, on Ă©largit le bestiaire : dĂ©mons, aliens, crĂ©atures lovecraftiennes⊠Tout y passe. Fun fact : ce genre est nĂ© en partie pour contourner les lois japonaises sur la nuditĂ©, mais aujourdâhui, câest devenu un classique pour les amateurs de fantastique et dâextrĂȘme.
N comme Netorare : le drame de lâinfidĂ©litĂ©
Netorare (ćŻćăă), ou âNTRâ pour les intimes, est un genre qui fait polĂ©mique, mĂȘme parmi les fans de hentai. LittĂ©ralement âvol de partenaireâ, il met en scĂšne des histoires dâinfidĂ©litĂ©, souvent avec une femme qui trompe son conjoint (ou son ami dâenfance) sous les yeux du spectateur. Le but ? Provoquer un mĂ©lange de jalousie, de frustration et⊠eh bien, dâexcitation pour certains. Il y a trois sous-genres : consentant, semi-consentant (elle commence par dire non mais finit par aimer), ou non-consentant (viol pur et dur). Câest psychologique, câest intense, et câest clairement pas pour les Ăąmes sensibles.
O comme Oppai : les seins, les seins, les seins !
Oppai (ăăŁă±ă) est le mot familier pour âseinsâ en japonais, et dans le hentai, câest carrĂ©ment une obsession. Entre le Paizuri (branlette espagnole, pour faire simple) et le Bakunyuu (seins Ă©normes et surrĂ©alistes), les amateurs de gros bonnets ont de quoi faire. Fun fact : il existe mĂȘme une hiĂ©rarchie des tailles de poitrine dans le hentai, allant de Hinnyuu (petits seins) Ă Manyuu (seins gigantesques, genre plus gros que le corps). Oui, lâimagination nâa pas de limites.
P comme Panchira : lâart de la petite culotte
Panchira (ăăłăă©), câest le fĂ©tichisme ultime du fan service : des plans sur les culottes, souvent sous des jupes (merci les bourrasques de vent opportunes). Dans le hentai, ça va plus loin, avec des scĂšnes oĂč la culotte devient presque un personnage Ă part entiĂšre (on la tripote, on la sent, on la vĂ©nĂšre). Câest un trope ultra-courant dans les ecchi et les hentai, et il a mĂȘme inspirĂ© des animes entiers, comme Pantsu. Si tu te demandes pourquoi tant dâobsession pour un bout de tissu, dis-toi que le hentai adore transformer le banal en fantasme.
R comme Rezu : lâamour entre femmes, version directe
Rezu (ăŹăș) est le terme japonais pour âlesbienneâ, et dans le hentai, il dĂ©signe les relations sexuelles explicites entre femmes (par opposition au yuri, qui peut ĂȘtre plus soft). Rezuru (ăŹășă) va plus loin en dĂ©crivant lâactivitĂ© sexuelle en elle-mĂȘme. Câest un genre qui contraste avec le yuri romantique, en allant direct au but, souvent avec des scĂšnes graphiques. Si tu cherches du hentai qui cĂ©lĂšbre les femmes, câest une option â mais attention, comme toujours, le consentement est clĂ© dans la vraie vie.
S comme Shibari : lâart des cordes, version hot
Shibari (ou Kinbaku) est une pratique de bondage japonaise qui consiste Ă attacher une personne avec des cordes, souvent de maniĂšre esthĂ©tique et symbolique. Dans le hentai, câest un classique du genre bondage (ăăłăăŒăž), oĂč le soumis (souvent une femme) est ligotĂ© pour des jeux de domination/soumission. Attention, dans la vraie vie, le shibari est un art qui demande consentement, technique et respect â pas juste un fantasme de hentai. Mais dans le monde du dessin, disons que les cordes servent Ă tout sauf Ă faire des nĆuds marins.
S aussi comme Shokushu : les tentacules, parce que pourquoi pas ?
Si tu te demandes pourquoi il y a autant de tentacules dans le hentai, merci Shokushu (觊æ), ou âTentacle Hentaiâ. Ce genre, aussi appelĂ© Monster Hentai, est nĂ© dâune astuce lĂ©gale : Ă une Ă©poque, la loi japonaise interdisait de montrer des pĂ©nis Ă lâĂ©cran, alors les artistes ont remplacĂ© les organes masculins par⊠des tentacules. RĂ©sultat : des scĂšnes dĂ©lirantes oĂč des humaines se font âattaquerâ par des crĂ©atures improbables. Aujourdâhui, la loi a changĂ©, mais le trope est restĂ©, parce que, eh bien, câest devenu un classique.
T comme Te Koki : la main au service du plaisir
Te Koki (æăłă), littĂ©ralement âtravail de la mainâ, dĂ©signe la masturbation effectuĂ©e par une autre personne (pas toi-mĂȘme, hein, sinon on parle dâonani). Câest un trope hyper courant dans le hentai, souvent associĂ© Ă des scĂ©narios de domination ou de sĂ©duction. Si câest avec les pieds, on passe Ă Ashi Koki (è¶łăłă), parce que, eh bien, pourquoi pas ? Le hentai adore explorer toutes les parties du corps, et les mains (ou les pieds) ne font pas exception.
U comme Urolagnie : le fétichisme des fluides
Urolagnie, ou plus simplement uro, est un genre de hentai qui met en scĂšne des jeux avec lâurine (oui, on est dans le niche). Souvent appelĂ© âgolden showerâ en anglais, câest une pratique marginale mais bien prĂ©sente dans certains doujins. Comme pour la coprophilie (skatoro), câest un fĂ©tichisme qui joue sur lâhumiliation ou le tabou. Si ça te choque, pas de panique : le hentai est un espace oĂč tous les fantasmes, mĂȘme les plus Ă©tranges, trouvent leur place â mais toujours dans la fiction, hein.
W comme Wakamezake : le sake, mais en plus⊠intime
Wakamezake (ăăăé ), ou âsake dâalguesâ, est un fĂ©tichisme qui gagne le prix de lâoriginalitĂ©. Ăa consiste Ă boire du sake versĂ© dans une âcavitĂ©â formĂ©e par les cuisses et le mont de VĂ©nus dâune femme. Pourquoi âalguesâ ? Parce que les poils pubiens flottant dans le liquide rappellent des algues (wakame). Oui, câest bizarre, oui, câest trĂšs japonais, et oui, câest un exemple parfait de la crĂ©ativitĂ© sans limites du hentai. Ă ne pas essayer Ă la maison sans un bon sens de lâhumour (et une excellente hygiĂšne).
Y comme Yuri et Yaoi : lâamour sans frontiĂšres
Pour les amateurs de romances homosexuelles, le hentai a deux genres phares : Yuri (çŸć), qui met en scĂšne des relations entre femmes, et Yaoi (ăăă), qui se concentre sur les hommes. Ces genres vont du soft (type ShĆjo-ai ou ShĆnen-ai, plus romantique) au hardcore. Fun fact : Yaoi est un acronyme qui signifie âaucune acmĂ©, aucun sujet, aucun sensâ â en gros, câest du fun sans prise de tĂȘte. Ces genres ont une Ă©norme communautĂ© de fans, notamment fĂ©minins, et sont souvent moins tabous que dâautres niches du hentai.
Z comme Zamen : le sperme, version germanique
Zamen (ă¶ăŒăĄăł) est un mot japonais empruntĂ© Ă lâallemand (Samen, âsemenceâ), et dans le hentai, câest un synonyme de bukkake ou de sperme en gĂ©nĂ©ral. On le retrouve souvent dans les dialogues ou les bruitages des animes hentai et des jeux vidĂ©o, pour ajouter une touche dâexagĂ©ration dramatique. Câest un peu le âgrand finalâ de beaucoup de scĂšnes, et un classique du genre.
Et le reste ?
On pourrait continuer des heures (il y a des termes pour TOUT, mĂȘme les trucs les plus bizarres, comme Wakamezake, oĂč on boit du sake dans une cavitĂ© formĂ©e par les cuisses dâune femme â oui, vraiment). Mais lâessentiel, câest de comprendre que le hentai et ses termes associĂ©s sont un reflet de lâimagination humaine, des tabous et des libertĂ©s…
Quel terme tâa le plus surpris ? Dis-nous tout en commentaires !
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