🔞 Les termes sexuels du hentai japonais : guide (un peu coquin)

Le monde des termes sexuels japonais, c’est un peu comme une encyclopĂ©die du bizarre, du mignon, du choquant et du crĂ©atif.

termes sexuels du hentai japonais

Veuillez noter que ces Ɠuvres et contenus sont conçues pour un public adulte et ne conviennent pas à tous les types de spectateurs.

Si tu as dĂ©jĂ  explorĂ© le monde des mangas, des animes ou mĂȘme des recoins plus
 spicy de la pop culture japonaise, tu as forcĂ©ment croisĂ© des termes qui t’ont fait hausser un sourcil (ou rougir, avoue). Le Japon, avec son mĂ©lange unique de traditions et de crĂ©ativitĂ© dĂ©bridĂ©e, a dĂ©veloppĂ© un vocabulaire sexuel ultra-riche, souvent liĂ© au monde du hentai (oui, on parle de ce genre de mangas). Mais attention, ici, on ne juge pas : on explore, on dĂ©crypte et on s’amuse un peu en chemin. Voici une liste non exhaustive des termes les plus emblĂ©matiques, expliquĂ©s avec un max de fun et un minimum de tabous. Accroche-toi, ça va secouer !

A comme Ahegao : le visage qui dit tout (et plus encore)

Si tu as dĂ©jĂ  vu un personnage de hentai avec les yeux rĂ©vulsĂ©s, la langue pendante et les joues Ă©carlates, tu sais de quoi on parle. Ahegao (ケヘ顔), littĂ©ralement “visage d’extase”, est l’expression faciale exagĂ©rĂ©e qui crie “plaisir ultime”. PopularisĂ© par le hentai, ce trope est devenu un vĂ©ritable phĂ©nomĂšne, au point d’envahir les memes, les hoodies et mĂȘme les filtres Snapchat. Attention, dans la vraie vie, c’est un peu plus rare (et peut-ĂȘtre moins glamour).

B comme Bukkake : un classique controversé

Bukkake (ぶっかけ) est un terme qui a voyagĂ© bien au-delĂ  des frontiĂšres du Japon, mais son origine est
 disons, historique. À l’époque mĂ©diĂ©vale, il Ă©tait associĂ© Ă  une forme d’humiliation publique (pas cool, on sait). Aujourd’hui, dans le hentai et le porno japonais (JAV, pour Japanese Adult Video), il dĂ©signe une pratique oĂč plusieurs hommes Ă©jaculent sur une personne, souvent une femme. Oui, c’est hardcore, et non, ce n’est pas pour tout le monde. Mais son omniprĂ©sence dans le hentai en fait un incontournable Ă  connaĂźtre.

C comme Chikan : le cÎté sombre des trains bondés

Si tu as dĂ©jĂ  vu un anime oĂč un mec louche tripote une passagĂšre dans un train, tu as rencontrĂ© le concept de Chikan (ç—ŽæŒą), ou “pervers du train”. InspirĂ© d’un vrai problĂšme social au Japon (le harcĂšlement dans les transports en commun), ce trope est hyper courant dans le hentai, souvent sous une forme fantasmĂ©e et exagĂ©rĂ©e. Dans la rĂ©alitĂ©, c’est Ă©videmment illĂ©gal et condamnĂ©, mais dans le monde fictif, ça reste un genre Ă  part entiĂšre.

C aussi comme Cosplay : quand le déguisement devient coquin

Cosplay (コă‚čプレ), Ă  la base, c’est l’art de se dĂ©guiser en personnages d’animes, de mangas ou de jeux vidĂ©o, souvent pour des conventions ou des concours. Mais dans le monde du hentai, on ajoute une bonne dose de piment : les personnages enfilent leurs costumes
 pour mieux les enlever (ou pas). Imagine une Sailor Moon ou une Chun-Li dans des situations bien plus hot que dans leurs Ɠuvres originales. Fun fact : dans le hentai, le cosplay est souvent une excuse pour mĂ©langer fan service et fĂ©tichisme des uniformes. IRL, le cosplay reste majoritairement innocent, mais dans le monde du hentai, c’est une tout autre histoire.

D comme Doujin : l’art du fait maison (et souvent coquin)

Doujin (搌äșș), ou doujinshi, c’est un peu le DIY du manga. Ce sont des BD crĂ©Ă©es par des amateurs, souvent en marge des grandes maisons d’édition, et vendues lors d’évĂ©nements comme le Comiket. Attention, un doujin n’est pas forcĂ©ment hentai : il peut ĂȘtre une parodie innocente de Naruto ou une histoire originale. Mais soyons honnĂȘtes, dans le monde du hentai, les doujins sont souvent des terrains de jeu pour les fantasmes les plus fous, avec des versions ultra-hot de tes persos prĂ©fĂ©rĂ©s. C’est artisanal, c’est libre, et c’est souvent lĂ  que naissent les idĂ©es les plus dĂ©lirantes.

E comme Ecchi : le petit frĂšre soft du hentai

Ecchi (スッチ) est un terme qui prĂȘte Ă  confusion. En Occident, on l’utilise pour dĂ©signer les mangas ou animes Ă  connotation sexuelle mais sans aller jusqu’au porno explicite – pense Ă  des plans culottes (panchira), des poitrines qui rebondissent (boin), ou des situations embarrassantes dans des bains chauds (onsen). Au Japon, par contre, ecchi peut carrĂ©ment signifier “sexe” ou “pervers” dans le langage courant (ecchi suru = faire l’amour). Bref, c’est le genre qui titille sans jamais aller jusqu’au bout
 ou presque.

F comme Futanari : quand les genres se mélangent

Futanari (ă”ăŸăȘり), ou “dickgirl” dans le jargon occidental, dĂ©signe des personnages hermaphrodites, souvent reprĂ©sentĂ©s avec une anatomie fĂ©minine et un pĂ©nis (parfois dĂ©mesurĂ©, merci l’imagination). Ce genre, qui flirte avec le fantastique, est une niche prisĂ©e dans le hentai et appartient souvent au sous-genre guro (le grotesque). Si tu te demandes pourquoi ça existe, dis-toi que le hentai adore repousser les limites de l’imagination – et des tabous.

F aussi comme Fera : la fellation, version japonaise

Fera ou Ferachio (ăƒ•ă‚§ăƒ©ă€ăƒ•ă‚§ăƒ©ăƒă‚Ș) est le terme japonais pour la fellation. Dans le hentai, c’est un trope hyper courant, souvent reprĂ©sentĂ© de maniĂšre exagĂ©rĂ©e (merci les bruitages et les angles de camĂ©ra improbables). C’est un classique qui ne manque jamais d’apparaĂźtre, que ce soit dans un doujin, un anime hentai ou un jeu vidĂ©o. Si tu cherches un genre soft, ce n’est pas ici que tu le trouveras – mais hey, c’est le hentai, pas Twilight.

G comme Guro : le cÎté sombre et glauque

Attention, on entre dans le deep du hentai. Guro (グロ), abrĂ©viation de “grotesque”, dĂ©signe les Ɠuvres qui mĂ©langent sexe et horreur, souvent avec des scĂšnes de mutilation, de violence extrĂȘme ou de trucs franchement bizarres. Pense Ă  des tentacules qui font plus que caresser, ou Ă  des scĂ©narios qui feraient rougir un fan de films d’horreur. C’est ultra-niche, souvent dĂ©rangeant, et clairement pas pour tout le monde. Si tu croises un doujin estampillĂ© guro, tu sais que tu t’aventures en terrain minĂ©.

H comme Hentai : mais au fait, ça veut dire quoi ?

On commence par la base. Hentai (ć€‰æ…‹) signifie littĂ©ralement “perversion” ou “anormalitĂ©â€ en japonais, mais en Occident, on l’utilise pour dĂ©signer les mangas et animes porno. Fun fact : au Japon, on prĂ©fĂšre parler d’ero manga ou d’ero anime pour Ă©viter la connotation pĂ©jorative de “perversion”. Mais grĂące Ă  des classiques comme Urotsukidoji (avec ses monstres tentaculaires), le terme hentai est devenu synonyme de sexe graphique et souvent dĂ©lirant. Bref, c’est tout un univers, et pas juste des dessins cochons.

I comme Idol : la muse intouchable
 ou presque

Idol ou AĂŻdoru (ă‚ąă‚€ăƒ‰ăƒ«) dĂ©signe ces jeunes chanteuses pop ultra-populaires au Japon, souvent des adolescentes adulĂ©es par des hordes de fans. Dans le hentai, elles deviennent des figures de fantasmes, souvent reprĂ©sentĂ©es dans des situations qui contrastent violemment avec leur image pure et innocente. C’est un trope qui joue sur le contraste entre l’idĂ©al de perfection et la transgression. Attention, dans la rĂ©alitĂ©, les idols sont des personnes, pas des objets de fiction, et leur vie est souvent hyper-contrĂŽlĂ©e (et pas toujours rose).

J comme JAV : le porno japonais, version live

JAV (Japanese Adult Video) est l’équivalent live du hentai : des films pornos japonais, souvent trĂšs codifiĂ©s, avec des genres qui vont du soft au hardcore. Dans le hentai, on retrouve souvent des adaptations de ces codes, comme le bukkake, le chikan ou le pink salon (des bars Ă  fellations). Fun fact : au Japon, les organes gĂ©nitaux sont souvent floutĂ©s dans les JAV Ă  cause de la loi, mais dans le hentai, on n’a pas ce problĂšme – merci le dessin !

K comme Kemono : quand les animaux deviennent sexy

Kemono (獣 ou ă‚±ăƒąăƒŽ) signifie “bĂȘte” ou “animal” en japonais, et dans le hentai, ça dĂ©signe les Ɠuvres mettant en scĂšne des crĂ©atures mi-humaines, mi-animales (pense Ă  des neko-girls avec des oreilles de chat, ou des hybrides plus sauvages). Parfois, ça va jusqu’à des relations zoophiles (oui, on est dans le bizarre), mais souvent, c’est plus soft, avec des personnages “kawaii” qui jouent sur le fĂ©tichisme des oreilles (kemonomimi) ou des queues. Si tu vois un doujin avec des persos Ă  fourrure, tu es en territoire kemono.

K aussi comme Kaiawase : l’amour entre femmes, version douce

Kaiawase (èȝ搈わせ) dĂ©signe les rapports sexuels entre femmes, souvent sous forme de masturbation mutuelle. C’est un terme poĂ©tique (littĂ©ralement “coquillages qui s’accordent”) qui contraste avec la brutalitĂ© de certains autres genres. Dans le hentai, c’est souvent reprĂ©sentĂ© dans le cadre du yuri (relations lesbiennes), mais ici, l’accent est mis sur la sensualitĂ© et l’intimitĂ©. Si tu cherches un genre plus doux, c’est une bonne porte d’entrĂ©e.

L comme Lolicon : attention, terrain glissant

Lolicon (ロăƒȘコン), ou “Lolita Complex”, est un genre controversĂ© qui met en scĂšne des personnages fĂ©minins mineurs dans des situations sexuelles. Attention, on parle ici de fiction (dessins, pas rĂ©alitĂ©), mais le sujet est hyper sensible et souvent illĂ©gal selon les pays. Au Japon, il existe un dĂ©bat permanent sur la libertĂ© artistique versus la moralitĂ©. Si tu explores ce genre, garde en tĂȘte le contexte culturel et lĂ©gal, et surtout, ne mĂ©lange pas fiction et rĂ©alitĂ©.

M comme Moe : l’excitation inexplicable

Moe (èŒăˆ) est un concept japonais difficile Ă  dĂ©finir, mais en gros, c’est quand un personnage ou une situation te fait craquer de maniĂšre irrationnelle. Dans le hentai, moe est souvent utilisĂ© pour dĂ©crire des personnages ou des fĂ©tichismes qui te font dire “je ne sais pas pourquoi, mais ça m’excite”. C’est un peu le cousin de kawaii, mais en plus personnel et subjectif. Si tu trouves une neko-girl avec des lunettes adorable au point de perdre tes moyens, tu es en plein moe.

M aussi comme Monster Hentai : quand les monstres s’en mĂȘlent

Monster Hentai est un genre oĂč des humaines (ou humains) se retrouvent dans des situations intimes avec des crĂ©atures non-humaines, souvent non-consensuelles. C’est le grand frĂšre du Shokushu (Tentacle Hentai), mais ici, on Ă©largit le bestiaire : dĂ©mons, aliens, crĂ©atures lovecraftiennes
 Tout y passe. Fun fact : ce genre est nĂ© en partie pour contourner les lois japonaises sur la nuditĂ©, mais aujourd’hui, c’est devenu un classique pour les amateurs de fantastique et d’extrĂȘme.

N comme Netorare : le drame de l’infidĂ©litĂ©

Netorare (毝揖られ), ou “NTR” pour les intimes, est un genre qui fait polĂ©mique, mĂȘme parmi les fans de hentai. LittĂ©ralement “vol de partenaire”, il met en scĂšne des histoires d’infidĂ©litĂ©, souvent avec une femme qui trompe son conjoint (ou son ami d’enfance) sous les yeux du spectateur. Le but ? Provoquer un mĂ©lange de jalousie, de frustration et
 eh bien, d’excitation pour certains. Il y a trois sous-genres : consentant, semi-consentant (elle commence par dire non mais finit par aimer), ou non-consentant (viol pur et dur). C’est psychologique, c’est intense, et c’est clairement pas pour les Ăąmes sensibles.

O comme Oppai : les seins, les seins, les seins !

Oppai (おっぱい) est le mot familier pour “seins” en japonais, et dans le hentai, c’est carrĂ©ment une obsession. Entre le Paizuri (branlette espagnole, pour faire simple) et le Bakunyuu (seins Ă©normes et surrĂ©alistes), les amateurs de gros bonnets ont de quoi faire. Fun fact : il existe mĂȘme une hiĂ©rarchie des tailles de poitrine dans le hentai, allant de Hinnyuu (petits seins) Ă  Manyuu (seins gigantesques, genre plus gros que le corps). Oui, l’imagination n’a pas de limites.

P comme Panchira : l’art de la petite culotte

Panchira (ăƒ‘ăƒłăƒăƒ©), c’est le fĂ©tichisme ultime du fan service : des plans sur les culottes, souvent sous des jupes (merci les bourrasques de vent opportunes). Dans le hentai, ça va plus loin, avec des scĂšnes oĂč la culotte devient presque un personnage Ă  part entiĂšre (on la tripote, on la sent, on la vĂ©nĂšre). C’est un trope ultra-courant dans les ecchi et les hentai, et il a mĂȘme inspirĂ© des animes entiers, comme Pantsu. Si tu te demandes pourquoi tant d’obsession pour un bout de tissu, dis-toi que le hentai adore transformer le banal en fantasme.

R comme Rezu : l’amour entre femmes, version directe

Rezu (ハă‚ș) est le terme japonais pour “lesbienne”, et dans le hentai, il dĂ©signe les relations sexuelles explicites entre femmes (par opposition au yuri, qui peut ĂȘtre plus soft). Rezuru (ハă‚șる) va plus loin en dĂ©crivant l’activitĂ© sexuelle en elle-mĂȘme. C’est un genre qui contraste avec le yuri romantique, en allant direct au but, souvent avec des scĂšnes graphiques. Si tu cherches du hentai qui cĂ©lĂšbre les femmes, c’est une option – mais attention, comme toujours, le consentement est clĂ© dans la vraie vie.

S comme Shibari : l’art des cordes, version hot

Shibari (ou Kinbaku) est une pratique de bondage japonaise qui consiste Ă  attacher une personne avec des cordes, souvent de maniĂšre esthĂ©tique et symbolique. Dans le hentai, c’est un classique du genre bondage (ăƒœăƒłăƒ‡ăƒŒă‚ž), oĂč le soumis (souvent une femme) est ligotĂ© pour des jeux de domination/soumission. Attention, dans la vraie vie, le shibari est un art qui demande consentement, technique et respect – pas juste un fantasme de hentai. Mais dans le monde du dessin, disons que les cordes servent Ă  tout sauf Ă  faire des nƓuds marins.

S aussi comme Shokushu : les tentacules, parce que pourquoi pas ?

Si tu te demandes pourquoi il y a autant de tentacules dans le hentai, merci Shokushu (觊手), ou “Tentacle Hentai”. Ce genre, aussi appelĂ© Monster Hentai, est nĂ© d’une astuce lĂ©gale : Ă  une Ă©poque, la loi japonaise interdisait de montrer des pĂ©nis Ă  l’écran, alors les artistes ont remplacĂ© les organes masculins par
 des tentacules. RĂ©sultat : des scĂšnes dĂ©lirantes oĂč des humaines se font “attaquer” par des crĂ©atures improbables. Aujourd’hui, la loi a changĂ©, mais le trope est restĂ©, parce que, eh bien, c’est devenu un classique.

T comme Te Koki : la main au service du plaisir

Te Koki (æ‰‹ă‚łă‚­), littĂ©ralement “travail de la main”, dĂ©signe la masturbation effectuĂ©e par une autre personne (pas toi-mĂȘme, hein, sinon on parle d’onani). C’est un trope hyper courant dans le hentai, souvent associĂ© Ă  des scĂ©narios de domination ou de sĂ©duction. Si c’est avec les pieds, on passe Ă  Ashi Koki (è¶łă‚łă‚­), parce que, eh bien, pourquoi pas ? Le hentai adore explorer toutes les parties du corps, et les mains (ou les pieds) ne font pas exception.

U comme Urolagnie : le fétichisme des fluides

Urolagnie, ou plus simplement uro, est un genre de hentai qui met en scĂšne des jeux avec l’urine (oui, on est dans le niche). Souvent appelĂ© “golden shower” en anglais, c’est une pratique marginale mais bien prĂ©sente dans certains doujins. Comme pour la coprophilie (skatoro), c’est un fĂ©tichisme qui joue sur l’humiliation ou le tabou. Si ça te choque, pas de panique : le hentai est un espace oĂč tous les fantasmes, mĂȘme les plus Ă©tranges, trouvent leur place – mais toujours dans la fiction, hein.

W comme Wakamezake : le sake, mais en plus
 intime

Wakamezake (わかめ酒), ou “sake d’algues”, est un fĂ©tichisme qui gagne le prix de l’originalitĂ©. Ça consiste Ă  boire du sake versĂ© dans une “cavitĂ©â€ formĂ©e par les cuisses et le mont de VĂ©nus d’une femme. Pourquoi “algues” ? Parce que les poils pubiens flottant dans le liquide rappellent des algues (wakame). Oui, c’est bizarre, oui, c’est trĂšs japonais, et oui, c’est un exemple parfait de la crĂ©ativitĂ© sans limites du hentai. À ne pas essayer Ă  la maison sans un bon sens de l’humour (et une excellente hygiĂšne).

Y comme Yuri et Yaoi : l’amour sans frontiùres

Pour les amateurs de romances homosexuelles, le hentai a deux genres phares : Yuri (ç™Ÿćˆ), qui met en scĂšne des relations entre femmes, et Yaoi (やおい), qui se concentre sur les hommes. Ces genres vont du soft (type Shƍjo-ai ou Shƍnen-ai, plus romantique) au hardcore. Fun fact : Yaoi est un acronyme qui signifie “aucune acmĂ©, aucun sujet, aucun sens” – en gros, c’est du fun sans prise de tĂȘte. Ces genres ont une Ă©norme communautĂ© de fans, notamment fĂ©minins, et sont souvent moins tabous que d’autres niches du hentai.

Z comme Zamen : le sperme, version germanique

Zamen (ă‚¶ăƒŒăƒĄăƒł) est un mot japonais empruntĂ© Ă  l’allemand (Samen, “semence”), et dans le hentai, c’est un synonyme de bukkake ou de sperme en gĂ©nĂ©ral. On le retrouve souvent dans les dialogues ou les bruitages des animes hentai et des jeux vidĂ©o, pour ajouter une touche d’exagĂ©ration dramatique. C’est un peu le “grand final” de beaucoup de scĂšnes, et un classique du genre.

Et le reste ?

On pourrait continuer des heures (il y a des termes pour TOUT, mĂȘme les trucs les plus bizarres, comme Wakamezake, oĂč on boit du sake dans une cavitĂ© formĂ©e par les cuisses d’une femme – oui, vraiment). Mais l’essentiel, c’est de comprendre que le hentai et ses termes associĂ©s sont un reflet de l’imagination humaine, des tabous et des libertĂ©s…

Quel terme t’a le plus surpris ? Dis-nous tout en commentaires !

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Auteur/autrice : Louis Japon

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