Certaines personnes sont très toxiques : voici les principaux types de pervers qu’il est possible de croiser au Japon et comment les éviter.
⚡Si vous êtes témoin ou victime de harcèlement, il est important de signaler le comportement aux autorités. Si vous êtes en danger ou si vous vous sentez menacé, cherchez immédiatement de l’aide auprès de personnes à proximité ou appelez la police en composant un des numéros d’urgence. Restez calme et ne paniquez pas. Essayez de vous rappeler que vous avez le droit de vous défendre et de vous protéger !
Avant toutes choses sachez que le Japon est une destination où vous avez très peu de chance de faire face à une agression.
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Cependant les risques de rencontrer des personnes mal intentionnées, en particulier des pervers ne sont pas nulles surtout si vous êtes une femme. Que vous soyez résident(e) japonais(e) ou simple touriste, il est important de prendre conscience que ces différents types de pervers existent.
Ces informations et conseils concernant les principaux types de pervers japonais vous aideront à vous sentir plus en sécurité et à l’aise pendant votre séjour au Japon.
Chikan
Le chikan est un comportement inapproprié et prévalent au Japon.
Il consiste à toucher ou à frotter des parties du corps et généralement les parties intimes d’une personne sans son consentement dans les transports en commun :
Comment éviter le chikan : Si vous êtes témoin ou victime de chikan, il est important de signaler immédiatement le comportement au personnel du train ou de la gare. Les trains au Japon ont également des wagons réservés aux femmes (comme celui présenté en introduction de l’article), profitez en !
Burusera : les voleurs de sous-vêtements
Le vol de sous-vêtements est un phénomène relativement courant au Japon et est souvent commis par des hommes. Ils volent des sous-vêtements féminins pour leur propre plaisir ou pour les vendre sur le marché noir !
Les voleurs de sous-vêtements peuvent agir de différentes manières, mais ils agiront souvent discrètement en volant des sous-vêtements sur les balcons des appartements et maisons privées.
Comment éviter les voleurs de sous-vêtements au Japon : Pour éviter d’être victime de ces voleurs, il est important de prendre certaines précautions. Par exemple, il est recommandé de ne pas laisser les sous-vêtements sécher dans des espaces publics ou sur un balcon accessible depuis la rue.
L’upskirting
Le terme désigne le fait de prendre une photo ou une vidéo sous la jupe d’une personne à son insu ou sans son consentement, généralement dans un lieu public. Cette forme de voyeurisme est considéré comme un problème de plus en plus préoccupant au Japon.
Le gouvernement japonais a récemment adopté une loi interdisant spécifiquement l’upskirting, qui est passible d’une peine maximale de 2 ans de prison ou d’une amende maximale de 1 million de yens (environ 9 000 euros).
Comment éviter l’upskiting : Portez des vêtements qui couvrent votre corps et qui ne permettent pas d’apercevoir votre sous-vêtement ou vos parties intime et surveillez votre environnement surtout lorsque vous êtes dans les zones bondées ou dans les transports en commun.
Oyaji-gari
Il s’agit d’un phénomène de harcèlement qui se produit principalement dans les lieux de travail, où des employés plus jeunes persécutent et harcèlent leurs collègues plus âgés.
Les victimes de l’Oyaji-gari peuvent être confrontées à des niveaux élevés de stress, d’anxiété et de dépression. Ce type de harcèlement est souvent motivé par une culture de la performance et de la compétition au travail, ainsi que par une hiérarchie d’âge rigide dans la société japonaise.
Comment éviter l‘oyaji-gari : il est important de reconnaître les signes de harcèlement et de les signaler immédiatement à un supérieur hiérarchique ou à des ressources humaines.
Karoshi
Le Karoshi est un phénomène qui se réfère à la mort subite d’un employé causée par une surcharge de travail. Le terme signifie littéralement « mort par excès de travail » en japonais et est considéré comme un problème de santé publique majeur au Japon.
Rien qu’een 2019, il y a eu 1 752 cas signalés de Karoshi, selon les chiffres du ministère japonais de la Santé et le phénomène n’épargne pas les travailleurs étrangers !
Comment éviter le karoshi : Si vous travaillez au Japon, soyez conscient des lois du travail et signalez tout incident de harcèlement à votre employeur (si cela est possible) ou aux autorités. Le gouvernement japonais a aussi mis en place des mesures pour tenter de réduire le phénomène, notamment en imposant des limites légales aux heures supplémentaires et en encourageant les entreprises à offrir des congés payés à leurs employés cependant le problème persiste et de nombreux travailleurs au Japon continuent de faire face à une pression considérable pour travailler des heures excessives.
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