Que ce soit « safu » ou pas, le crash de mars n’a pas sérieusement remis en question le potentiel de valeur refuge de la cryptomonnaie au Japon, les investisseurs ont profité de ce crash pour “buy the dip”.

Que ce soit « safu » ou pas, le crash de mars n’a pas sérieusement remis en question le potentiel de valeur refuge de la cryptomonnaie au Japon, les investisseurs ont profité de ce crash pour “buy the dip”.
Basé à Tokyo, au Japon, à son apogée, sa bourse a traité plus de 80 % du volume mondial des échanges de cryptomonnaies, devenant ainsi l’une les plus populaires au monde.