« On ne juge pas un manga à sa couverture. Ni un peuple à ses clichés. » Konnichiwa la réalité. Sayonara à nos idées reçues.

« On ne juge pas un manga à sa couverture. Ni un peuple à ses clichés. » Konnichiwa la réalité. Sayonara à nos idées reçues.
Ce n’est pas parce qu’un film rouvre les cicatrices qu’il faut oublier l’histoire car raconter le passé, c’est aussi prévenir l’avenir…
Les panneaux « No Chinese » devraient rester dans les musées. Et si tu refuses un client, vise le comportement, pas le passeport.
Cette initiative pourrait bien redessiner les contours du commerce mondial… et changer la donne face aux États-Unis.
L’histoire de l’esclavage au Japon, bien que méconnue, offre un éclairage sur la société et l’économie nippone d’hier et d’aujourd’hui.