Fanart qui déchire, fanzine tiré à cent exemplaires, crossover entre licences… Le dōjin vit et respire par la parodie.

Fanart qui déchire, fanzine tiré à cent exemplaires, crossover entre licences… Le dōjin vit et respire par la parodie.

Pas de chichi, mais des critères clairs : impact narratif, charisme/icone, danger réel, combats mémorables et héritage.

Imagine un mini-studio indé pour des fans, qui sort des mangas, artbooks, musique ou même jeux vidéo… sans passer par les industriels.

Pokémon, c’est un peu comme une boîte de chocolats : on sait qu’on va se régaler, mais toutes les saveurs ne sont pas pour tous les âges.

Le hentai, c’est un peu comme un buffet à volonté sur Internet : tout le monde veut en profiter, mais il y a toujours des plats douteux !
